Les conditions sanitaires et le confinement n’auront pas raison du dynamisme et de l’engagement des cyclotouristes d’Hiriburuko Ainhara. Dans l’attente d’assemblées générales à nouveau synonymes de retrouvailles entre baroudeurs et autres sprinteurs, le bureau d’Hiriburuko Ainhara cyclo a organisé vendredi 20 novembre une rencontre virtuelle en petit comité, afin de partager bilans et perspectives d’une section qui compte près de 90 licenciés.
Hiriburuko Ainharako zikloturismo atalaren bulegoak, bikura antolatu du talde ttipian, 90 bat kide dituen sailaren bilduma eta proiektuen partekatzeko.
Sans trop s’étendre sur une année si particulière pour les cyclistes amateurs, le bureau a d’abord tenu à remercier Gérard Laffitte, qui s’était dévoué en tant que président, afin d’assurer la transition du bureau. Il sera d’ici peu remplacé à la présidence par Daniel Larre, associé à Jean-Pierre Miremont, en tant que vice-président. L’ensemble du nouveau bureau est toutefois en cours de constitution.
Côté projets, c’est la tête dans les cartes routières que Michel Dalgalarrondo a mis à profit le confinement pour proposer des parcours hebdomadaires rafraîchis.
Projets relancés
Le règlement intérieur a lui aussi été l’objet de révisions. Malgré les contraintes, l’Epiphanie, la soirée gras-doubles comme le rassemblement cyclotouriste à Bidart (où la section Hiriburuko Ainhara avait été la plus représentée) et la Marcel Queheille, épreuve cyclotouriste proposée par le SA Mauléon, avaient pu être organisées.
Désormais, c’est vers une année 2021 pleine d’espoirs que se tournent les regards : une réflexion est en cours quant à un éventuel lifting des tenues du club. Annulé en 2020, le séjour à Cambrils (Catalogne) demeure plus que jamais dans les cartons, ajouté à la prochaine cyclotouriste Bernard Sagaspe.
Une assemblée générale qui fut aussi l’occasion de saluer l’accession de Daniel Pétrissans à la présidence du Comité Départemental de cyclotourisme 64 (Codep) et la médaille du mérite de Codep, décernée à Michel Bordes. Claude Darmaillacq s’est aussi fait l’écho du bilan sécurité, rappelant notamment l’obligation d’un éclairage arrière.